Si c'est comme ça qu'on appelle les litres de pluie déversée sur le pays de Montréal aujourd'hui, je vous prie de croire que ça n'a pas arrêté de couler sur nous de tout le chemin. Chemin qui d'ailleurs n'a pas eu le temps d'absorber le volume proposé : de la boue ici et là, des ruisseaux improvisés entre les rangs des vignes que nous n'avons pas vraiment eu le courage d'admirer. Et puis, on avait souvent les yeux au sol pour éviter l'eau dans les yeux, et les glissades imprévues.
Ce midi, cependant, nous avons pu "déguster" notre salade Sodebo à l'abri. Pile à l'heure du déjeuner, nous sommes arrivés en haut d'un fief à une maisonnette (que les propriétaires ont justement baptisé la... Maisonnette !) dont le auvent était proposé aux passants. Nous n'avons pas croisé les propriétaires. Ils ne sont pas montrés. La porte et la fenêtre étaient ouvertes. Une néo-zélandaise nous a causé deux minutes, les américains du Michigan étaient déjà répartis et des françaises cherchaient à comprendre où elles étaient avant de faire du rab de kilomètres.
Nous sommes ce soir à Eauze. Ha, ha... Céouqu'céty ?
Pour terminer notre parcours, nous avons piétiné 8 km de bitume. Oh, ce n'était même pas pentu. Nous marchions sur une ancienne voie ferrée. C'était seulement "enniant" et casse-patte. Ce sont les genoux qui en ont pâti.
2 commentaires:
Bon courage aux genoux . Il fera meilleur demain ! Bisous de Dordogne (où paraît-il, la pluie fait pousser les cèpes 😂)
À bientôt, alors, pour les cèpes !
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