... ou pas, d'ailleurs !
Départ ce matin de Figeac, 7°, ciel bleu pétant, arrivée à Gréalou, 17°, ciel avec un petit troupeau de moutons. Mais un vent de noroît...
Bon, qu'on efface une bonne fois pour toutes des tablettes l'histoire des tracés d'étapes. Vous savez, celles qu'on prévoit sur la table du salon à l'aide d'une carte bien à plat sur le formica (ou autre, je ne suis pas sectaire). En fait, à part le kilométrage, rien ne prévient des côtes et des descentes... Ça, je ne savais.
Mais, d'une année à l'autre, je l'oublie et on découvre sur le terrain les reliefs du lieu. Comme d'habitude !
Je disais donc... Ce que disent les pancartes, et ce qu'elles nous cachent. Voici quelques exemples:
Voilà un nom de village tout doux, un nom de guinguette. Que nenni ! Pour rejoindre ce lieu dit, juste en sortant de notre lit à Figeac, il nous a fallu monter de 150 mètres. Ça réveille les muscles, dis-donc, et ça marque l'esprit du randonneur alpha qui porte son sac de surcroît (ou à dos, ça dépend...).
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