... qu'il ait fait beau et qu'à "Marie-Josèphe" soit un beau bateau... Une chanson qui nous a trotté dans la tête sous le soleil ardent des bords du canal. Et, il y avait aussi cette autre: "... on allait voir la mer, et on r'gardait les bateaux ..." de Michel Jonatz. La chaleur nous a empêchés de chanter à tue-tête, croyez bien !
Mais, de bateaux, bizarrement, on en a croisé que 3 en mode navigation. Les autres étaient au garage, sans doute. Ou bien, les capitaines redoutaient le passage des nombreuses écluses qui barrent ce tronçon de 13 km qui nous a amenés ce soir au camping de Castelnaudary. Coucherie en Mobil home cette nuit dans le fond du terrain, tout contre les eaux du Canal.
Les dessous des pieds sont en feu. La marche sur le chemin de halage est plate, mais le revêtement est rugueux et chauffé à blanc (enfin non, c'était la couleur des cailloux). Et, pour terminer, après la pression dégustée sur les bords du bassin, deux p'tits kilomètres sur le bitume. Du velours !
Bon, allez, plaignez vous donc !
Nous voilà arrivés donc à Castelnaudary. Ah oui, je vous l'ai déjà rabâché.
Castelnaudary, sa collégiale Saint-Michel, sa vieille ville suspendue au-dessus du canal, ses quais, et son... porc.
Non, non, ça s'écrit bien de cette façon-là ce qu'on met dans le... dans le...
C A S S O U L E T. La photo suit. On s'en va de ce pas en faire une.
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